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08/11/2015

Politique et stratégies du Collectif Contre l’Islamophobie en France (CCIF) dans les Mosquées et les institutions pour détruire l’identité française et islamiser le territoire

"Islam mine l'Europe" est un des premiers média à avoir démasqué dès 2011, les véritables objectifs du Collectif Contre l'Islamophobie en France (CCIF) en dévoilant les intentions de son porte-parole Marwan Muhammad, dans une conférence donnée à la Mosquée d'Orly :

"L’Islam est un mode de vie global. L’Islam dicte la façon dont on se comporte avec nos épouses, avec nos voisins, avec l’environnement, avec nos collègues, comment on fait les affaires, comment on va à la guerre, quand est-ce qu’on défend."
[...]
"Qui a le droit de nous dire si c’est réaliste ou pas ? Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays Musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’Islam. Personne n’a le droit dans ce pays de définir pour nous ce qu’est l’Identité Française."

« Il faut constituer des dispositifs alternatifs, c’est-à-dire que si l’école est discriminante, alors il faut des écoles qui soient inclusives, si le système économique nous rejette, alors il faut trouver des alternatives, oui, mais cette démarche là peut causer du tort dans le sens où on va se faire notre petite zone démarquée, on sera bien à l’intérieur de cette bulle, mais ceux qui n’ont pas les moyens de rentrer dans la bulle, ils vivront la discrimination de toute manière. »

"L’idée de communautarisme est beaucoup moins taboue en Angleterre ou aux États-Unis.
Des Musulmans, des Juifs, des Hindous qui sont victimes de discriminations, qu’est-ce qu’ils font ? Cette ville a une grosse proportion de Musulmans, on va investir dedans, construire des collèges et des lycées Musulmans et on va se faire des résidences, des salles de sport, des piscines, où majoritairement on sera des Musulmans, tout ça c’est très bien, tout le monde vit une espèce de vie islamique idyllique dans un contexte Occidental, mais ceux qui n’ont pas les moyens de rentrer dans cette ville, ils vivent la même violence et la même discrimination qu’avant."
Conférence de Marwan Muhammad à la Mosquée Assalam de Nantes en 2012

Marwan Muhammad veut construire des écoles islamiques, des institutions où ils seront "majoritairement Musulmans". Un État dans l'État.

Pour connaître plus précisément l'idéologie que veut imposer le CCIF dans cet État musulman, il suffit de décrypter les prédicateurs et idéologues invités par cette association, porteurs des valeurs islamiques qu'il faudrait promouvoir et défendre contre les "islamophobes". Ci-dessous, présentation de quelques "pointures" du mouvement CCIF :

 

Marwan Muhammad, porte-parole du CCIF (à gauche), en conférence avec l'imam misogyne et antioccidental de la Mosquée de Brest, Rachid Houdeyfa

 

Le président du CCIF, Samy Debah, présente Rachid Houdeyfa invité du dîner annuel du CCIF en mai 2014 : "C'est un personnage public de grande qualité, de grande renommée, qu'Allah le préserve, je vous demande de l'applaudir"


« Le hijab c’est la pudeur de la femme, et sans pudeur, la femme n’a pas d’honneur, et si la femme sort sans honneur, qu’elle ne s’étonne pas que les hommes abusent de cette femme là, la néglige, et l’utilisent comme un objet, ne lui donnent aucune importance, et ne la veulent pas pour sa religion, pour sa bonne moralité, mais simplement pour son corps, pour son visage qui attire. Malheureusement, elle a oublié que Allah parle de visages qui iront dans le feu de l’Enfer. »
[05:04]
Rachid Houdeyfa, donne sa vision de la femme dans une conférence « 30 minutes pour te convaincre de mettre le hijab »


Rachid Houdeyfa endoctrine les enfants Musulmans dans une école coranique, en leur interdisant de jouer des instruments de musique : « ceux qui chantent seront transformés en singes et en porcs »

 

   

Nader Abou Anas, imam de la Mosquée du Bourget, prédicateur invité par le CCIF, est un théologien fondamentaliste de l’Islam radical misogyne, il invite les Musulmans à ne pas suivre les Juifs et les Chrétiens, car les Musulmans sont les « Supérieurs », et veut interdire la musique qui est d’après lui, « la voix de Satan ».


Pour Nader Abou Anas, la femme doit assouvir les besoins sexuels de son mari sur demande sinon, elle sera maudite. Elle doit également lui demander la permission pour sortir de la maison.

 

Le CCIF fait la promotion de l’imam de la Mosquée d’Aubervilliers Hassen Bounamcha (hard-copy) surnommé « l’ami Hassen », qui explique devant ses Fidèles à Aubervilliers, que la mixité sociale homme/femme est un vice, que la femme occidentale se comporte comme une femme sans honneur, qu'une femme "n'a pas le droit de tomber amoureuse". Hassen Bounamcha tient également des propos à caractère homophobe."

 

Le président du CCIF, Samy Debah, a signé le 17 septembre 2015 une convention de partenariat avec le Conseil Régional du Culte Musulman de Lorraine (CRCM) dirigé par Amine Nedji (hard-copy), prédicateur fondamentaliste marocain de la Mosquée de Tomblaine-Nancy. Amine Nejdi considère sur son site internet officiel, qu'une femme qui ne porte pas de voile islamique incite à la perversion, une saleté qui attire les mouches. Il explique également que le combat armé contre les mécréants, le Jihad Islamique, est une nécessité contre les personnes hostiles à l'Islam.

Samy Debah, président du CCIF (à droite), signe une convention de partenariat avec le Conseil Régional du Culte Musulman de Lorraine dirigé par l'islamiste radical marocain Amine Nejdi le 17 septembre 2015

 

Nabil Ennasri, président du Collectif des Musulmans de France, est régulièrement invité par les responsables du CCIF pour donner des conférences, (ici au dîner annuel du CCIF le 31 mai 2015) (Là, à la Mosquée du Havre le 17 novembre 2012). Lors des élections législatives de 2012, Nabil Ennasri a appelé les Musulmans à « faire tomber Manuel Valls », l’« ami Éternel d’Israël ». Il développe également une propagande politique antioccidentale, et antifrançaise.

Le CCIF et Marwan Muhammad sont associés avec Tariq Ramadan, le prédicateur proche des Frères Musulmans


Dans ses conférences, Tariq Ramadan refuse la mixité homme/femme, un Musulman n'a pas le droit de regarder une femme en maillot de bain dans une piscine.

Lors du congrès annuel de l’UOIF au Bourget du 6 au 9 avril 2012, des prédicateurs antisémites, comme Youssouf Al-Qaradawi ou Safwat Hijazi qui expliquent, devant plusieurs dizaines de millions de téléspectateurs sur les chaînes Arabes (Al-Jazeera, Al nas-tv , Tv Al-Aqsa, etc…) vouloir unifier les Musulmans afin de finir le travail d’Hitler, punir et exterminer les Juifs, ont été interdits de se présenter à ce congrès.
Tariq Ramadan a, dans un article, pris la défense de ces prédicateurs antisémites et a condamné Nicolas Sarkozy pour cette mesure (hard-copy), dans un vibrant plaidoyer rendant hommage à ces « savants musulmans de renommée mondiale » injustement bannis du territoire français.

Respectivement de gauche à droite, en partant du deuxième, Youssef Al Qaradawi, le Guide spirituel de l’organisation politique des Frères Musulmans, Sheikha Mozah, la femme de l’émir du Qatar, Tariq Ramadan, prédicateur politique antisioniste influent en Europe, Mustafa Ceric, un des leaders des Frères Musulmans en Europe, et Yusuf Islam (l’ex-chanteur Cat Stevens converti à l’Islam), réunis à Doha au Qatar le 15 janvier 2012 pour la création du nouveau Centre de Législation Islamique et Éthique (CILE) (lien 2)

Dans ses ouvrages, Tariq Ramadan expose sa solution pour lutter contre la décadence de l'Europe Occidentale : construire un État Islamique sous la charia dirigé par un imam :

« Il se trouve dans le Coran à peu près 228 versets (sur 6 238) qui traitent de la législation générale (code civil et pénal, droit constitutionnel, relations internationales, ordre économique, etc…) »
(page 36)
« La Révélation traite en effet de toutes les sphères de l’activité humaine : de l’ordre économique, du projet social, de la représentativité politique. »
(page 35) « De fait, en matière législative, les choses sont claires. Le Droit Islamique, dont on parle tant aujourd’hui, c’est d’abord l’ensemble des règles générales stipulées par le Coran et la Sunna. »
(page 38)

"Le choix du responsable de la nation (le président ou l’imâm – celui qui se place devant -) peut être délégué au Conseil de la shûra (ou aux conseils régionaux, s’il en est) mais il peut également être le fait de la population. Encore une fois, le principe de choix du peuple est inaliénable en islam ; la forme que prendra sa réalisation peut dépendre d’un grand nombre de facteurs historiques, géographiques et même culturels. L’idée d’un mandat à durée déterminée ne contrevient pas aux enseignements islamiques.
Le président de la nation est donc choisi par la communauté (hommes et femmes doivent avoir le droit de participer à ce choix). Comme n’importe quel président lié par la constitution de son pays, il se doit de respecter les principes de références islamiques et en cela, il en est le garant devant le Conseil de la shûra (et devant le peuple) à qui il doit rendre compte de sa politique générale et de celle de ses ministres. C’est très exactement ce que faisait Abou Bakr et Omar, et c’est bien en ce sens que s’articulent, dans les sociétés modernes, les instances exécutives et législatives."

(page 97)
« Dans le domaine politique, comme c’est le cas pour la sphère sociale ou économique, il existe aussi un cadre de référence islamique défini par le Coran et la Sunna qui correspond à peu de choses près au statut de la loi fondamentale, la Constitution, (en ce qu’elle va permettre sa formulation) vis à vis des législations nationales. [...] Ce cadre est d’origine Divine et les directives qui y sont liées sont intangible.»
(page 93)
Tariq Ramadan - "Islam - le face à face des civilisations"


Le prédicateur Hani Ramadan, frère de Tariq Ramadan, associé au CCIF, compare les Juifs à des "serpents, une race de vipères" dans une conférence donnée devant des centaines de Musulmans à Bruxelles le 1er mai 2004

Hani Ramadan, directeur du centre islamique de Genève, dans ses ouvrages et conférences, explique que tous les Musulmans doivent être gouvernés par un Califat sous les Lois islamiques de la Charia. (conférence à la Grande Mosquée Al-imane de Lille-Sud). D’après lui, l’Occident décadent est contaminé par l’Antéchrist, le « Dadjhal », un borgne de l’oeil droit, et seul l’Islam et la Charia peuvent le guérir.

Houria Bouteldja, invitée par le CCIF le 23 mai 2014 (hard-copy), est le porte-parole du Parti des Indigènes de la République (PIR), un mouvement politique préchant le communautarisme islamique et un esprit de revanche contre les « blancs colonisateurs » en lutte contre le sionisme et l'occident; typiquement, quelques extraits de l’idéologie véhiculée par ce parti politique, que l'on peut lire sur son site internet officiel :


Houria Bouteldja, invitée au dîner du CCIF le 23 mai 2014, apparaît en couverture du livre "nique la France", un manifeste raciste contre la France et les Français

« le PIR lutte contre toutes les formes de domination impériale, coloniale et sioniste qui fondent la suprématie blanche à l’échelle internationale. »

« Le PIR s’oppose à une Europe impériale blanche et à tous les dispositifs qui sont mis en œuvre dans cette perspective. Le PIR s’attachera à développer des liens d’entraide, de solidarité et de partenariat avec toutes les forces qui luttent, dans l’ensemble des Etats européens, contre le projet de construction d’une Europe blanche. »

« Il faut refuser le système d’intégration : sur le plan idéologique. Il faut résister à l’idéologie de l’universalisme blanc, des droits de l’homme et des lumières, du progrès, de la vision linéaire de l’histoire. »

Le CCIF est par ailleurs associé à l'Union des Organisations Islamiques de France (UOIF). L’UOIF possède une soixante d’associations directement affiliées et plus de cent cinquante associations gérant les lieux de culte en France et est proche idéologiquement des Frères Musulmans, mouvement islamiste international visant à la mise en place d’un Califat Mondial, l’instauration d’un pouvoir Politique Islamiste Totalitaire, la Charia. Son président Ahmed Jaballah déclarait sans embage que : « L’UOIF est une fusée à deux étages. Le premier étage est démocratique, le second mettra en orbite une société islamique. »


Le CCIF est associé à l'UOIF, l'organisation politique des Frères Musulmans en France, son ex-président Ahmed Jaballah, fut invité au dîner du CCIF le 23 mai 2014 (hard-copy)

Ahmed Jaballah et le prédicateur antisémite égyptien mentor des Frères Musulmans, Youssef Al Qaradawi (au centre) à Saint-Denis en 2007

L'objectif du CCIF porté par ses prédicateurs est clair : détruire l'identité française issue des racines gréco-latine, romaine et de la spiritualité du judéo-christianisme, pour la remplacer par une identité musulmane, misogyne, intolérante ayant pour objectif :
- le rejet des traditions millénaires faisant partie de la culture occidentale comme les arts et la musique (Hildegarde Von Bingen, Palestrina, Bach, Mozart, Brahms, Schubert, Verdi, Vivaldi, Chopin...), la musique étant considérée comme "la voix de Satan" par les théologiens du CCIF
- l'obligation pour les femmes de porter le voile islamique et d'obéir à leur mari
- la promotion des discours antisémites et antioccidentaux
- l'élimination de la pluralité démocratique pour la remplacer par un État Islamique sous la charia.


Comment faire progresser l'islamisation de la société française et imposer les valeurs sacrées diffusées par ces prédicateurs ?
La stratégie pour arriver à transformer la France en état islamique, passe tout d'abord par une propagande dans les termes même du language employé, dérivés de la novlangue, concept inventé par George Orwell dans son roman "1984", décrivant un monde totalitaire. Le procédé consiste à inventer ou redéfinir certains mots du langage afin d'atteindre un objectif déterminé, pour interdire de penser et d'agir.
Le meilleur exemple est le slogan du CCIF, en-tête de la page Facebook officielle :


La novlangue employée par le CCIF, pour interdire de penser et d'agir :
"L'islamophobie n'est pas une opinion, c'est un délit !"

Le terme même d'"islamophobie" employé par le CCIF est assez polémique. La phobie veut dire avoir une peur déraisonnée de quelque chose, lié à une pathologie. Associé au mot Islam, cela voudrait alors dire avoir une peur irrationnelle de l'Islam.
Toute personne critiquant l'Islam se voit ainsi réduite à une personne malade nécessitant d'être internée en hôpital pour des soins psychiatriques.
Ce terme n'est pas approprié, l'Islam est une idéologie que l'on peut tout à fait critiquer rationnellement, comme n'importe quelle autre idéologie, (marxisme, capitalisme, mondialisme, communisme, nazisme, taoïsme, boudhisme, judaïsme, christianisme, protestantisme, hindousime, etc...).
Est-ce que sous prétexte de choquer les capitalistes et les communistes on ne doit plus critiquer le capitalisme, le communisme ? Les condamnera-t-on pour "capitalismophobie", ou "communismophobie" ?

La stratégie du CCIF consiste à menacer de poursuivre judiciairement toute critique de l'Islam en la transformant en attaque raciste et nazie contre les musulmans, ceci afin d'intimider, de museler l'opposition et permettre aux associations musulmanes de diffuser sans entraves la propagande islamique dans les Mosquées de France et les institutions françaises, en particulier le port du voile islamique sur les lieux de travail.

"Une décennie d'islamophobie institutionnalisée". Le CCIF considère le gouvernement français comme "islamophobe", car interdisant le port du voile islamique à l'école, donc hostile à l'Islam et aux Musulmans (hard-copy).



"L'islamophobie fait en sorte qu'à échéance de cinq ans, dix ans, quinze ans, ce qu'on a vu dans les années trente et quarante peut se reproduire en France.[...] Si vous êtes discriminé à l'entrée d'une école, à l'entrée d'une institution, quand vous passez des concours privés, quand vous allez à l'université, la loi est pour vous, servez-vous en, sinon on s'en servira contre vous. Donc déposez plainte, alertez le CCIF, allez en procès si nécessaire pour créer des précédents."
Au Rassemblement Annuel des Musulmans de France (RAMF) 2011 organisé par l'UOIF au Bourget, Marwan Muhammad demande aux Musulmans de porter plainte dès que une "discrimination" est constatée sur un lieu de travail ou à l'université sur le port d'un vêtement religieux, Ils seront soutenus par le CCIF. Sinon, Marwan Muhammad sous-entend que si les Musulmans se laissent faire, ils pourraient finir dans les chambres à gaz comme sous le IIIème Reich. De quoi éveiller des sentiments de haine contre les sociétés occidentales.

Pour arriver à ses fins, le CCIF dispose d'appuis politiques importants, comme le premier secrétaire du parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis, délinquant récidiviste condamné à cinq mois de prison en 2000 et six mois de prison en 2006.


Jean-Christophe Cambadélis a reçu une délégation de l'association d'extrême-droite islamique du CCIF le 1er juin 2015 rue Solférino. (hard-copy) (lien 1)

article publié sur http://islamineurope.unblog.fr le 8 novembre 2015

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Écrit par : 1 | 14/11/2015

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