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26/03/2017

Manifestation des islamistes antioccidentaux devant la municipalité de Clichy-la-Garenne contre la fermeture de la Grande Mosquée

Depuis quelques décennies, la banlieue parisienne est gangrénée progressivement par les idéologues de l'Islam radical.
Les islamistes s'expriment ouvertement dans les plus grands lieux de culte musulman en France, parmi lesquels on compte la Grande Mosquée de Clichy-la-Garenne et son école coranique dirigée par l'Union des Associations Musulmanes de Clichy (UAMC), située rue d'Estienne d'Orves en plein centre-ville.
En activité depuis 2013, l'association de la Mosquée de Clichy-la-Garenne s'est illustrée dernièrement en invitant des prédicateurs politiques antioccidentaux, tel l'imam tunisien des Frères Musulmans Béchir Ben Hassen, qui fait publiquement de l'incitation à la haine et au meurtre, en appelant les Fidèles Musulmans à assassiner les caricaturistes du Prophète Mohamed.

    

  

Le 24 juin 2016, le prédicateur tunisien des Frères Musulmans Béchir Ben Hassen, qui appelle les Musulmans à assassiner les caricaturistes du Prophète Mohamedest invité à la Mosquée de Clichy-la-Garenne pour donner une conférence (hard-copy).

 

Le 29 janvier 2017, c'est l'islamiste radical Larbi Kechat, proche de la mouvance de l'organisation politique des Frères Musulmans (UOIF), qui est invité à la Mosquée de Clichy-la-Garenne.
Larbi Kechat est le recteur de la Mosquée Addawa dans le XIX arrondissement de Paris dans laquelle sont invités des prédicateurs fondamentalistes misogynes et antioccidentaux, connue pour être aussi la Mosquée fréquentée par les frères Kouachi, les terroristes Musulmans qui ont commis les attentats contre les caricaturistes du journal satirique Charlie Hebdo le 7 janvier 2015.


Le 7 septembre 2015, le maire LR Rémi Muzeau s'engage auprès de la communauté musulmane à construire une nouvelle Mosquée si il est élu, au mépris de la loi 1905 de séparation du culte et de l'État.
Les Musulmans considèrent comme une trahison la décision unilatérale prise par la municipalité de fermer la Grande Mosquée du centre-ville pour la transformer en médiathèque, et de les orienter désormais vers un nouveau lieu de culte, pris en charge par la Fédération Nationale des Musulmans de France (FNMF), en périphérie de la ville.


Pour protester contre cette décision de fermeture, plusieurs manifestations sont organisées devant la municipalité de la ville, comme ici le 26 novembre 2016, où les Musulmans se disent stigmatisés et victime de racisme.


Le 22 mars 2017, la Mosquée de Clichy-la-Garenne d'Estienne d'Orves est évacuée par les CRS, le lieu de culte est officiellement fermé.

Les organisations islamistes sont également en première ligne pour récupérer cet évènement, afin d'inciter les Musulmans à la haine de l'Occident. Marwan Muhammad, porte-parole du Collectif Contre l'Islamophobie en France (CCIF), officine de l'organisation anti-occidentale et antisioniste des Frères Musulmans, vient personnellement endoctriner les masses musulmanes. Extrait de son intervention lors de la nouvelle manifestation organisée devant la mairie de Clichy-la-Garenne le 24 mars 2017, pour réclamer la réouverture du lieu de culte :

         

 


Prière de rue islamique devant la municipalité de Clichy-la-Garenne pour intimider le maire de la ville le 24 mars 2017 : "ALLAH AKBAR !"


Marwan Muhammad, porte-parole du CCIF, invective les Musulmans de Clichy-la-Garenne : on veut vous forcer à prier devant les poubelles.

"Grandir à Clichy n'a jamais été un problème en étant Musulman. Et je ne pensais pas qu'un jour on se retrouverait comme ça aujourd'hui devant la place du marché à se demander "Où est passée la Mosquée ?" Cet acte là, vous connaissez le travail que l'on fait au quotidien, n'est pas un acte islamophobe comme ceux que l'on a à gérer d'habitude, un cas d'agression, un cas de discrimination, où il suffit d'envoyer des juristes pour résoudre le dossier. Et pourtant c'est un cas qui raconte la condition musulmane.
C'est un cas qui raconte la façon dont des citoyens à part entière, deviennent entièrement à part, tout simplement parce qu'ils sont Musulmans. Et à eux, on peut envoyer des cars de CRS pour les déloger de leur Mosquée. À eux on peut les balader avant et après les élections en leur faisant des promesses bidons.
A eux, on peut dire que ce sont des délinquants quelque part, qui sont nés et qui ont voulu prier dans la rue, comme si quelqu'un d'entre nous c'était levé ce matin en disant : "Tiens, j'ai envie de bloquer la circulation, j'ai envie de prier dans la rue, parce que j'ai rien d'autre à faire de ma vie.". On ne se bat pas ici pour demander une Mosquée à Clichy, on a une Mosquée à Clichy. On ne se bat pas ici pour dire que nous on est des gens indignes, on voudrait conquérir notre dignité. Nous sommes des êtres humains dignes, pleins de dignité.
Et c'est pour ça que vous voyez des gens avec des gilets jaunes ici, vous entendez l'imam, vous entendez les responsables de l'association vous dire que l'on n'est pas content d'être là. On n'est pas content d'être dans un conflit avec la mairie, on n'est pas content de bloquer le passage ou d'être en train de se dire "Tiens, laisser les gens entrer au MacDonald, laissez les gens passer derrière", ce n'est pas quelque chose que les Musulmans et les Musulmanes ont voulu. Mais c'est quelque chose qui est convoqué par une situation où traiter les Musulmans comme ça, ça passe en 2017. Et ça, ça passe plus. Ça ne passe plus !
Donc, encore une fois, la question n'est pas de savoir si oui ou non il va y avoir un lieu de culte musulman à Clichy, il y a un lieu de culte musulman à Clichy, juste ici à 200 mètres, rue d'Estienne d'Orves. La question est comment est-ce qu'on va s'organiser pour que la pratique du culte musulman à Clichy demeure quelque chose de possible, demeure quelque chose qui se fait dans des conditions dignes !
Alors j'entends dire qu'il y a une salle de prière qui est de l'autre côté, je suis désolé, je ne sais pas pour vous, mais moi je n'ai pas envie de prier entre une décharge et une casse. Je ne sais pas pour vous, mais moi je n'ai pas envie d'emmener mes enfants et de dire "voilà ta place. Ta place n'est pas dans le centre-ville avec tes concitoyens, avec tes co-religionnaires, avec les gens avec lesquels tu vis au quotidien, ta place est là où on ne te voit pas. Ta place, elle est à côté de la poubelle." Je ne dirai pas ça ni à mon fils, ni à ma fille, parce qu'il existe un seuil de dignité en dessous duquel l'être humain ne descend pas."

Les Musulmans de France seraient traités comme des être indignes, des délinquants, discriminés et persécutés par les CRS et les institutions de l'État et forcés de prier près des poubelles, (on parle d'une Mosquée toute neuve offerte clé en main par le maire de la ville !).
Marwan Muhammad créé ainsi dans la communauté musulmane, comme il en a l'habitude dans ses prédications, un ressentiment de rejet contre un pays hostile qui n'accueillerait pas les Musulmans à leur juste valeur, ce qui ne peut que générer à long terme, les conditions d'une guerre civile entre Musulmans et non-Musulmans.
À aucun moment Marwan Muhammad ne remet en cause la venue de prédicateurs fondamentalistes à la Mosquée de Clichy-la-Garenne.

   

Marwan Muhammad veut transformer la France en un pays musulman, pour cela, il encourage le communautarisme, et milite pour la construction des écoles musulmanes, afin de forger une société parallèle en conflit avec la société civile française et occidentale.

 

En autorisant l'ouverture d'une Mosquée radicale à Clichy-la-Garenne, le maire LR Rémi Muzeau à mis les doigts dans un engrenage dont il n'arrive plus à se sortir.
Le 27 mai 2016, Rémi Muzeau (2ème en partant de la gauche) inaugurait le nouveau centre islamique de la FNMF en présence de Anouar Kbibech (1er à gauche), l'islamiste radical marocain président du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM).

article publié sur http://islamineurope.unblog.fr le 26 mars 2017

09/10/2016

L’alliance islamo-communiste, cheval de Troie de l’implantation des prédicateurs antioccidentaux, antisémites et misogynes à la Mosquée radicale « des Lumières » de Mitry-Mory

Mitry-Mory est une commune française située en Seine-et-Marne, dans la banlieue est parisienne, un des départements les plus avancés, après la Seine-Saint-Denis, la région PACA et la région lilloise, en terme d'islamisation. La ville est une enclave historique du parti communiste à forte population immigrée, essentiellement musulmane, remplaçant progressivement les Français de souche.
Plusieurs villes de Seine-et-Marne ont leur communautés musulmanes pilotées par des associations fondamentalistes liées à la mouvance salafiste, wahhabite et des Frères Musulmans, comme entre autres les Mosquées de Savigny-le-Temple, Torcy, Bussy-Saint-Georges, Noisiel, Lieusaint
Pour satisfaire la communauté musulmane et bénéficier de son électorat, très sensible à la question palestinienne, la politique de la ville communiste de Mitry-Mory s'est ralliée aux revendications des organisations islamistes locales, notamment en soutenant une propagande militante antisioniste, allant par exemple jusqu'à déformer les évènements ayant eu lieu sur la "flotille de Gaza" le 31 mai 2010 pour justifier son allégeance.

 


"Le gouvernement israélien a encore franchi une étape intolérable dans la violation du droit international, en organisant un véritable massacre contre des civils réunis au sein d’une flottille de la liberté en direction de Gaza."
[...]
"En ce sens, nous soutenons la demande de suspension de l’accord d’association UE-Israël et la levée du blocus de Gaza."
Lettre de Corinne Dupont, ex-maire communiste de Mitry-Mory et militante antisioniste, le 2 juin 2010 au président de la République (hard-copy)

Mitry-Mory est gangrénée par l’Association Sociale, Cultuelle et Culturelle des Musulmans de Mitry (ASCCM), un organisme politique fondamentaliste islamique, plus communément connu sous le nom de Mosquée "des Lumières", qui a vu le jour voilà plus de 15 ans. L'organisme dispose d'une école coranique permettant d'endoctriner chaque année environ 350 enfants aux préceptes de l'Islam.
Les élus de la ville soutiennent le projet ambitieux de l'association islamique : en mai 2015, le maire communiste Charlotte Blandiot-Faride a autorisé un accord pour l’acquisition d’un terrain de 10 600 m2 au prix de 738 500 € afin d'y construire une immense Mosquée cathédrale, les locaux actuels attribués gracieusement par la Mairie ne suffisant plus à accueillir les fidèles, notamment les vendredis ainsi que les enfants de l’école coranique (hard-copy).
La municipalité de Mitry-Mory se trouve ainsi en flagrant conflit avec la loi de 1905 sur la laïcité, l'état ne devant favoriser, ni financer aucun culte.

Projet de la future Grande Mosquée de Mitry-Mory avec l'appui des élus communistes : l'islamisation de la ville est en cours


Le président de l'ASCCM, Hadj Fares, présente le terrain de la future Mosquée des Lumières de Mitry-Mory en mai 2015

L'association ASCCM invite des prédicateurs qui endoctrinent des milliers de Musulmans à l'idéologie islamique, c'est à dire au rejet des institutions françaises, faisant de l'incitation à la haine des Chrétiens, des Juifs, communautarisant et soudant la Oumma, la communauté des Croyants, soi-disant victime de persécutions en France. Loin de l'image de la religion de Fraternité, d'Amour, de Paix et Tolérance que les mass-média ne cessent de vouloir faire avalider dans la conscience collective.

Parmi les prédicateurs venant faire de la propagande islamique sur Mitry-Mory, on peut citer, l'imam de la Mosquée du Bourget Nader Abou Anas venu donner une conférence le 28 février 2014 (hard-copy)


Pour Nader Abou Anas, prédicateur invité à la Mosquée de Mitry-Mory, la femme doit assouvir les besoins sexuels de son mari sur demande sinon, elle sera maudite. Elle doit également lui demander la permission pour sortir de la maison. (conférence vidéo censurée régulièrement par Youtube, mais que vous pouvez retrouver sur ce lien).

Autre conférencier de renom, Éric Younous invité le 24 octobre 2014 à la Mosquée de Mitry-Mory Éric Younous a renié la parole de Dieu révélée en Jésus Christ en se convertissant à l'Islam, il s'est formé à l'Islam wahhabite le plus rigoriste pendant plusieurs années en Arabie Saoudite, et est revenu en France pour endoctriner des milliers de Musulmans

En niant la Parole de Dieu, d'Humilité, d'entraide envers son Prochain, révélée en Jésus Christ, ce prédicateur se fourvoie dans le péché en propageant une idéologie intolérante, misogyne, antichrétienne et antisémite dans les plus grandes Mosquées de France. Éric Younous considère par exemple que les Juifs sont punis par Allah, peuple de l'inaction, ou encore que les Musulmans sont persécutés, et traités comme "des animaux" en France.

Dans sa conférence délivrée à la Mosquée de Mitry-Mory, Éric Younous nous explique la notion de Fraternité en Islam :

Le prédicateur antioccidental et antisémite Éric Younous, invité à donner une conférence à la Mosquée "des Lumières" de Mitry-Mory le 24 octobre 2014

"Oh vous les porteurs de la Foi ! Craignez votre seigneur, celui qui vous a créé d'une seule âme, et de cette âme là il a crée sa femme, et de ces deux là, il a créé beaucoup d'hommes et de femmes qui ont peuplé la Terre. ça veut dire que l'on a en premier lieu une relation avec tous les autres êtres humains, mais il y a une certaine partie de la population musulmane qui utilise cette "Fraternité humaine" (en arabe) pour la faire passer pour une "Fraternité religieuse" (en arabe), ce n'est pas du tout la même chose.
Il y a des gens qui parlent de cette fraternité humaine, et voient un non-musulman, et devant tout le monde l'appelle "Mon Frère". Moi, quand je te vois appeler un non-musulman "Mon Frère", je ne suis pas en train de penser à Allah, à la Fraternité humaine, et tu le sais très bien. J'ai vu ça surtout en Afrique, et aussi ici, certaines instances tentent de mettre ça en place, c'est le fait de dire : "Islam, Chrétiens, Juifs, c'est pareil ! Vrai ou faux ? On ira tous au Paradis, main dans la main, en chantant des chansons." ça c'est faux.
La relation que l'on a avec son Frère oui, il y a cette fraternité qui existe, mais on ne doit pas appeler un non-musulman, "mon Frère", car sinon, on va dans le sens de qui ? De ceux qui disent que les Chrétiens, les Musulmans, on est tous Frères ! Non, on n'est pas Frères, on n'est pas Frères, on est Frères dans l'Humanité, c'est vrai, mais au niveau du mon dhin (religion) de mon mode de vie qui est l'Islam ? Et que fait-on des versets ?
Le seul mode de vie qui est accepté par Allah, c'est l'Islam, ce n'est pas autre chose.
La seule vocation des Croyants, c'est d'être Frères, vous ne serez de véritables Croyants que lorsque vous aimerez pour vos Frères, ce que tu aimes pour toi même. Ici le Frère, ce n'est pas le Frère d'Humanité, c'est le Frère du dhin (religion), et cette relation, c'est la plus forte que tu puisses trouver sur cette Terre."
[40:41]
Éric Younous en conférence le 24 octobre 2014 à la Mosquée de Mitry-Mory : "Être Frères, mais pourquoi ?" (hard-copy) (également disponible sur ce lien)

D'après Éric Younous, la Fraternité a plusieurs degrés en Islam. On ne peut aimer un Chrétien, un Juif, de la même manière qu'un Musulman. Un message radicalement opposé à celui de Jésus-Christ, qui demande à ses disciples d'aimer son Prochain comme soi-même.

Le prédicateur Abdallah Ben Mansour, est aussi un éminent invité de la Mosquée "des Lumières" de Mitry-Mory. Abdallah Ben Mansour est un militant islamiste, membre éminent fondateur de l’UOIF, il ne reconnaît pas l’existence de l’État d’Israël, et diffuse une propagande de l’Islam politique antisioniste dans les Mosquées de France, et dans les IESH en particulier, centres de formation des futurs imams des Mosquées de France. Il milite également pour la mise en place de la Loi islamique, la Charia.
Dans une conférence donnée à la Mosquée des Étangs d’Aulnay-sous-Bois, il expliquait à ses Fidèles Musulmans : « heureusement que les Musulmans veulent appliquer la Charia ! Les français sont en retard de quinze siècles sur l’Islam ! ».
Lors du congrès de l’UOIF au salon du Bourget en 2013, il déclarait : « Les Musulmans ont construit la France et sont l’avenir de l’humanité »

Abdallah Ben Mansour (au centre), un des membres fondateurs de l'organisation politique antioccidentale et antisioniste des Frères Musulmans en France, donne une conférence à la Mosquée des "Lumières" de Mitry-Mory (17 juin 2016). A droite, le président de l'ASCCM, Hadj Fares (hard-copy)

 

Les mois de juin-juillet 2016, période de Ramadan, furent propices à l'affermissement de la Foi des Croyants. L'association de la Mosquée "des Lumières" a organisé l'été 2016, la venue de prédicateurs antioccidentaux, antisémites, et misogynes pour endoctriner la communauté musulmane de Mitry-Mory au rejet des valeurs de l'Occident.

Parmi les prédicateurs de la Mosquée de Mitry-Mory, Hani Ramadan, petit-fils du fondateur de l’organisation politique des Frères Musulmans Hassan Al-Bannah (et frère de Tariq Ramadan), est le directeur du centre islamique de Genève en Suisse, un prédicateur qui tient des propos à caractère antisémite, n’hésitant pas à comparer les Juifs à des « serpents, une race de vipères » dans une conférence donnée à Bruxelles devant des centaines de Musulmans.
Dans ses ouvrages et conférences, il explique que tous les Musulmans doivent être gouvernés par un Califat sous les Lois islamiques de la Charia. (conférence à la Grande Mosquée Al-imane de Lille-Sud).
D’après lui, l’Occident décadent est contaminé par l’Antéchrist, le « Dadjhal », un borgne de l’oeil droit, et seul l’Islam et la Charia peuvent le guérir.
Le prédicateur se livre également à une véritable propagande contre l'état d'Israël et soutient l'organisation terroriste du Hamas. Pour Hani Ramadan, les Chrétiens n'ont pas "le coeur pur", car ils croient en la Trinité.
Un champion de la tolérance et du vivre-ensemble ?

Hassen Bounamcha, l'imam d'Aubervilliers misogyne, antioccidental et homophobe, invité à la Mosquée "des Lumières" de Mitry-Mory le 12 juin 2016

Dans ses conférences dispensées devant les fidèles Musulmans, Hassen Bounamcha, surnommé « l’aami Hassan », explique devant ses Fidèles à Aubervilliers, que la mixité sociale homme/femme est un vice, que la femme occidentale se comporte comme une femme sans honneur. Hassen Bounamcha tient également des propos à caractère homophobe. Il justifie également le mariage forcé à la Mosquée de Boulogne-Billancourt.

Larbi Kechat, gestionnaire de la Mosquée fondamentaliste et antioccidentale Addawa à Paris (XIX arrondissement), invité à la Mosquée "des Lumières" de Mitry-Mory le 2 juillet 2016

Le prédicateur antisémite et antioccidental Abou Omar, invité à la Mosquée "des Lumières" de Mitry-Mory le 1er juillet 2016

L'islamiste politique antisioniste et antioccidental Omar Dourmane, proche des Frères Musulmans, invité à la Mosquée "des Lumières" de Mitry-Mory le 25 juin 2016

L'imam de la Mosquée d'Ivry-sur-Seine, Mohamed Bajrafil, qui développe une propagande anti-occidentale et donne des « leçons d’Humanité à la France », invité à la Mosquée "des Lumières" de Mitry-Mory le 10 juin 2016

La municipalité de Mitry-Mory n'a pris aucune mesure pour empêcher la venue de tous ces prédicateurs, connus pour leur dangerosité, induisant chez les Fidèles Musulmans le ressentiment de vivre en pays hostile, où ils ne peuvent pas pratiquer librement leur Foi. Tout cela générant un climat malsain et délétère, participant à la destruction de la cohésion sociale et favorisant l'émergence de communautarisme islamique.

Charlotte Blandiot-Faride (à droite sur la photo), le maire communiste de Mitry-Mory, dans la lignée de ses prédecesseurs Corinne Dupont (au centre) et Jean-Pierre Bontoux (à gauche), autorise l'implantation d'une future Mosquée Cathédrale sur la commune, favorisant par ses prédicateurs l'émergence d'un Islam radical antioccidental, antisémite et misogyne, minant la cohésion sociale sur le long terme.

article publié sur http://islamineurope.unblog.fr le 9 octobre 2016

29/11/2013

Construction de la Grande Mosquée Addawa gérée par le recteur Larbi Kechat : un futur foyer de l’Islam Radical politique à Paris ?

Dans les années 1960, la Communauté Musulmane du 19ème arrondissement de Paris quartier Belleville devenue conséquente obtient une petite salle de prière Musulmane, faisant partie d'un hotel d'un propriétaire algérien, ouverte au 15 rue de Belleville. La salle au fil des années deviendra trop petite pour accueillir les Fidèles, et devant la forte affluence, la Paroisse Catholique de Menilmontant mettra à disposition une partie de son Eglise de 1974 à 1979. Pour obtenir un édifice digne d'un véritable Lieu de Culte, un homme va structurer la Communauté Musulmane dans ce quartier nord de Paris, Larbi Kechat. Larbi Kechat, un algérien arrivé en France en 1972, va organiser l'achat d’un ancien entrepôt rue de Tanger Paris 19ème, puis l'aménager en Lieu de Culte Islamique, la Mosquée Addawa est fondée dont il deviendra le recteur.

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Larbi Kechat, recteur de la Mosquée Addawa à Paris

En 1994, pour organiser le milieu associatif de la Communauté Musulmane, Larbi Kechat créera le Centre Socio-Culturel dont il est le directeur. En août 1994, il est arrêté avec une vingtaine de personnes, toutes musulmanes ou d’origine maghrébine, pour prèches anti-occidentaux rapportés en Allemagne et pour son rapprochement avec le FIS (Front Islamique du Salut) en pleine période de guerre civile algérienne. Cette opération de sécurisation orchestrée par Charles Pasqua, ministre de l’Intérieur à l'époque, maintiendra Larbi Kechat assigné à résidence avec 25 membre du FIS dans l'ancienne caserne de Folembray, dans l’Aisne, puis dans Paris intra-muros, pendant près d'un an, il reprendra ses activités normalement par la suite.

En 2001, conformément à ses engagements de campagne, pour satisfaire Larbi Kechat et la Communauté Musulmane toujours grandissante de Belleville, le maire socialiste de Paris Bertrand Delanoë a accordé un permis de construire pour une toute nouvelle Grande Mosquée Cathédrale Addawa, au 39 rue de Tanger, toujours dans le 19e arrondissement. Le coût total de ce nouvel édifice monumental est estimé entre 15 et 17 millions d'euros.
Le futur site accueillera une salle de prière de mille six cents places surmontée d’une coupole mais aussi, côté rue, un bâtiment de sept étages avec des salles de conférence, des salles de classe et des locaux pour des activités socioculturelles. En tout, un millier de mètres carrés de salles de classe et bureaux avec façade de verre fondue dans la rue, patio oriental, deux dômes, une cantine, 100 places de parking.
Les travaux avancent au rythme des dons des Fidèles par l'intermédiaire du site officiel de la Mosquée Addawa.

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Projet de la future Grande Mosquée Addawa, 39 rue de Tanger, Paris XIX arrondissement

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Musulmans en prières à la Mosquée temporaire Addawa

Depuis 2006, un entrepôt sert de Lieu de Culte temporaire porte de la Villette en attendant la construction de la nouvelle Grande Mosquée Addawa rue de Tanger

Pour financer la Grande Mosquée, Larbi Kechat fait également des démarches auprès de mécènes dans les pays du Moyen-Orient pour réunir des fonds privés, et espère obtenir une participation de leur part à hauteur de plus de 10 millions d'euros. Parmi les principaux mécènes participant au projet, que l'on peut voir sur la page d'accueil du site officiel de la future Grande Mosquée Addawa, on peut noter trois sommités du monde Musulman, le Cheikh Egyptien Youssef Al-Qaradawi, le Syrien Saïd Ramadan Al-Bouthi et l'égyptien Omar Abdelkafy. (hard-copy)
Quand on regarde plus attentivement le profil de ces mécènes, on est en droit de s'inquiéter quant à leur influence, leur ingérence dans les programmes, les prèches et l'idéologie islamique qui seront diffusés dans l'enceinte de la future Mosquée et se poser des questions sur les valeurs communes qu'ils partagent avec Larbi Kechat. Ces religieux sont tous issus de l'Université Egyptienne Al-Azhar qui enseigne un Islam Radical, décrit comme un système totalitaire économique, social, judiciaire et législatif sans aucune opposition politique et entièrement régi par les Loi d'Allah, le Droit Islamique, la Charia.
L'université Al-Azhar est proche idéologiquement de l'organisation politique des Frères Musulmans, organisation militant pour la construction d'un Monde Islamique dirigé par la Charia.

Le Cheikh Youssef Al-Qaradawi fait autorité dans le Monde Musulman, il est consultant religieux sur la chaîne Qatari Al-Jazira. Il dirige également en Europe le Conseil Européen de la fatwa et de la recherche. Dans ses discours et ses ouvrages, il diffuse son programme Totalitaire : la mise en place de la Charia, la conquête de Jérusalem et de Rome. Dans son ouvrage "Le Licite et l’Illicte en Islam" , il explique que tous les homosexuels doivent être exterminés (soit pendus, soit jetés du haut d’un mur), il milite également pour un antisémitisme ultraviolent, l'extermination des Juifs.

Également mécène du projet, le Cheikh Saïd Ramadan Al-Bouthi, un islamiste radical syrien dont les écrits ne laissent aucun doute sur l’idéologie qu’il propage, l’Islam doit conquérir le pouvoir dans tous les domaines : social, économique, judiciaire législatif et politique. Dans ses livres on peut trouver des citations telles que :

“Le Jihad désigne en son sens exact, la lutte pour la cause de Dieu et l’établissement d’une société islamique; le combat constitue en lui-même un aspect de cette lutte; il vise à fonder une nation islamique authentique.” [...] Quant aux « Gens du livre » (Chrétiens et Juifs), ils peuvent coexister avec les Musulmans à condition de se soumettre aux Lois qui gouvernent la société Musulmane et de s’affilier à la Nation Islamique en payant au gouvernement un tribut, l’équivalent de la Zakat imposée aux Musulmans. Cette dernière étape consacra la nécessité du Jihad dans l’Islam sous la forme définitive en tant qu’un devoir imposé aux Musulmans à toute époque, au cas ou ils disposent d’une armée suffisante."
extraits du livre « Fiqh-as-sira » p187 (1995) de Saïd Ramadan Al-Bouthi

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Youssef Al-Qaradawi et Saïd Ramadan Al-Bouthi, mécènes de la future Grande Mosquée Addawa

Egalement mécène et régulièrement invité de "prestige" pour donner des conférences à la Mosquée Addawa, le Cheikh Omar Abdelkafy, qui bénéficie d'une grande notoriété internationale dans les pays islamiques, considéré parmi les prédicateurs Musulmans les plus riches du Monde, explique par exemple que le port du voile est une obligation pour toutes les Musulmanes, sinon, elles seront punies du chatiment Eternel.

 

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Le cheikh Omar Abdelkafy à la Mosquée Addawa (porte de la Villette), le 25 Juin 2011, lors du colloque sur le thème : Occident, Islam: du traumatisme conflictuel au polarisme relationnel.

Pour avoir une vue sur la "Pensée Spirituelle" de ce grand savant, extrait d'une émission télévisée religieuse égyptienne, ou Omar Abdelkafy vient précher sa bonne Parole, morceaux choisis en italique ci-dessous (hard-copy) :


"Omar Abdelkafy - Celle qui sort les cheveux découverts au vu de tout le monde, celle-là aura commis un péché qui mérite le chatiment de la tombe.
Présentateur - C'est pour cela qu'elle sera suspendue par les cheveux ? C'est de cette façon qu'elle sera chatiée le jour du Jugement ?
Omar Abdelkafy - non ! Cela commence dès la tombe ! [,..] "
Présentateur - Est-ce que le voile est une obligation prescrite dans la Charia islamique ? Car il y a des Musulmans qui le renie !

Omar Abdelkafy - Celui ou celle qui renie ce qui est nécessairement connu dans la Religion aura quitté l'Islam !
Présentateur - Ils disent que l'ordre a été donné pour les femmes du Prophète uniquement.
Omar Abdelkafy - non, Allah a dit aussi : "et les femmes des Croyants", et donc si elle ne met pas le voile, elle ne fait pas partie des femmes Croyantes! [...]
Présentateur - Et comment va-t-elle profiter de sa jeunesse ?
Omar Abdelkafy - Qu'elle ne penche pas et qu'elle ne fasse rien pour que les autres penchent vers elle !
Présentateur - Mais aucun homme ne va la regarder !
Omar Abdelkafy - Si ! Lorsqu'elle mettra le voile, Inch'Allah, il n'y aura que des hommes vertueux qui la demanderont en mariage, quant à celle qui se dévoile, ceux qui la voudront seront comme des mouches qui sont attirées par certaines odeurs."

Il serait intéressant, vu sa dernière réplique, de demander à Omar Abdelkafy ce qu'il pense des femmes Occidentales.

La position du cheikh Omar Abdelkafy sur le port du voile pour la femme Musulmane n'est pas isolée, pendant une conférence sur "le droit des femmes" à la Mosquée Addawa, une oratrice voilée expliquait par exemple que pour les femmes afghanes "la burka afghane est un vêtement nécessaire du fait des conditions climatiques afin de protéger la beauté des femmes de l'aridité de la région."

Larbi Kechat participe également à des conférences sur d'autres sites en France et en Europe. Le 18,19 et 20 avril 2008, il était à la troisième rencontre annuelle des Musulmans de Corbeil-Essonnes organisée par les responsables de la Grande Mosquée de Corbeil-Essonnes.

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Larbi Kechat, Safwat Hijazi et Tariq Ramadan à la Grande Mosquée de Corbeil-Essonnes

Larbi Kechat partageait la vedette sur l'affiche de présentation de cette rencontre avec des invités reconnus internationalement : respectivement sur les photos, les islamistes Safwat Hijazi et Tariq Ramadan.

L’imam Safwat Hijazi de l’université égyptienne Al-Azhar, intervenant régulièrement sur la chaîne de télévision égyptienne Al-Nas TV, est interdit de séjour en Angleterre pour cause d’appel à la violence terroriste et incitation à la haine. Sur ce lien, un extrait d’une de ses interventions sur la chaîne télévisée du Hamas Al-Aqsa TV, organisation classée comme terroriste par l’Union Européenne, où il exprime sa haine contre les Juifs.

Tariq Ramadan, très médiatisé en France, est spécialiste du double langage ("taqyia" en Islam). Dans les médias il prèche un Islam ouvert et tolérant tout en veillant à préserver le respect de l'identité Musulmane, (port du voile islamique, viande halal, etc...), mais dans les prédications dans les Mosquées et dans ses ouvrages, associé à son frère Hani Ramadan, c'est un Islam politique, un système gouverné par la Charia, incompatible avec nos Valeurs Démocratiques, qu'il met en avant.

Par ailleurs, Larbi Kechat diffuse sa pensée islamique à la jeunesse française. Une rencontre avec des lycéens du 16ème arrondissement de Paris, des futures élites françaises, a été organisée en 2008. Quelques extraits de ces échanges en gras italique ci-dessous en deux parties (partie 1 et partie 2) :

"Autrefois les américains ont instrumentalisé la Religion Musulmane, pourquoi à cette époque là, n'ont pas parlé du néo-christianisme ? Aujourd'hui Bush est régi par le néo-sionisme, le créationnisme et tout cela, pourquoi ?
[...]
Chaque fois que les circonstances l'exigent, on montre une cassette sur la chaîne Al-Jazeera pour effrayer les gens. Il ne faut pas se leurrer, il faut faire preuve d'intelligence, de réflexion, aujourd'hui nous sommes victimes de la médiologie: les médias se réduisent à l'image.
Regardez ce soir à 20h, premièrement des bribes d'images, et une interprétation qui ne fait que désinformer, on vous montre une parcelle d'images dans un contexte effrayant, regardez les liens qui sont faits, lorsqu'il y a un problème au niveau de la Société Générale, en France, pour certaines catégories de personnes. On va alors créer de toutes pièces un spectre d'horreurs. Pourquoi ? Pour détourner l'attention du spectateur.
Chaque fois qu'il y a un problème au niveau politique, social, ou économique, il faut téléguider un attentat, il faut poser une bombe. Pourquoi ? Pour que vigi-pirate envahisse l'espace public."

Larbi Kechat met en avant une pseudo-victimisation des Musulmans face à un complot américano-sioniste. Les Musulmans sont persécutés à travers le Monde, ils sont des boucs-émissaires, les Occidentaux organisent des attentats pour détourner les citoyens des réalités de la vie quotidienne et diriger leurs problèmes contre les Musulmans. Cette attitude de victimisation permet de mieux mettre en valeur, faire passer et propager les principes islamiques en imposant progressivement les Lois de la Charia.
Plus loin, il aborde le thème des manifestations très controversées des caricatures du Prophète Mohammed en 2005, ayant provoqué des révoltes importantes à travers le Monde Musulman :

"Dans notre perspective Musulmane, il est interdit de représenter le Prophète, nous sommes libre d'avoir cette pensée, n'est-ce pas ? Lorsque je viens vers vous pour dire, "tiens, votre manière de vivre ou votre comportement ne me plaît pas." Au nom de quel principe je me permets de vous dire cela ?
Je respecte, peut-être que je ne comprends pas mais je m'adresse à vous, après avoir tissé des liens d'amitié on peut parler librement, je ne comprends pas cette attitude, et vous allez aimablement expliquer votre point de vue. Moi ma seule réaction c'est le respect de votre façon de voir et de votre façon de vivre. Lorsque je vois un Chrétien faire le signe de la Croix, de l'extérieur je ne comprends rien, j'ai quelques connaissances intellectuelles mais un X qui vient de je ne sais où ? Pour la personne qui fait ce signe, ce geste à un sens profond et il faut le respecter.
"
[...]
"Il faut savoir dans quel contexte, très violent, ont eu lieu ces caricatures."
[...]
"Les médias en Occident ont gonflé le volume de ces réactions qui font peur c'est vrai à la télévision quand vous voyez les ambassades brûler au Moyen-Orient."

Larbi Kechat estime que le simple fait de dessiner le Prophète est un Blasphème et endoctrine ainsi les jeunes à respecter et imposer, sous couvert de respect de la Religion, la Loi Islamique de la Charia qui interdit toute représentation imagée du Prophète. Il oublie de préciser que la France n'est pas (encore) sous la Charia, que la critique, la dérision par la caricature est un droit, une Liberté d'Expression chèrement acquise pendant le Siècle des Lumières, une arme contre la progression du Fanatisme Religieux.
A partir du moment où l'Islam devient un phénomène de société visible en France, par la construction de Mosquées Cathédrales, les boucheries Halal, le port du voile islamique, les prières de rue, les repas spéciaux mis en place dans les écoles républicaines et laïques, etc.., qu'il n'est plus cantonné dans le seul cadre privé, il devient alors normal et autorisé de l'analyser, de le critiquer, voire de s'en moquer par la caricature et avec toutes "les armes" dont disposent les intellectuels et journalistes.
Ce que Larbi Kechat ne voit pas, c'est que la Caricature fait partie des Valeurs Occidentales, "c'est le respect de votre façon de voir et de votre façon de vivre", que Larbi Kechat explique vouloir défendre dans ses propos. Il minimise les impacts du phénomène, l'Occident ayant "gonflé le volume de ces réactions", alors que plusieurs ambassades ont été brûlées à travers le Monde.

Quel Islam sera enseigné à la jeunesse Musumane dans la future Grande Mosquée Addawa ? Un Islam ouvert, diffusant un Message de Tolérance, de Respect entre Communautés ? Verra-t-on Youssef Al-Qaradawi, Saïd Ramadan Al-Bouthi, Safwat Hijazi, Omar Abdelkafy, Tariq Ramadan venir donner des prèches dans les grandes salles de Conférence de la Mosquée ? Les ouvrages de "Paix et Tolérance" de ces savants seront-ils consultables dans la future bibliothèque de la Mosquée ?

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"Nous sommes dans une société laïque et moi je ne suis pas croyant, dans laquelle on ne fête que des fêtes Chrétiennes. Peut-être vous souvenez-vous qu'à un moment donné, il y a eu une commission STASI, et publiquement, puisque vous avez l'air de suivre ce que je dis, j'avais approuvé une disposition qui n'avait pas été retenue.
C'était de supprimer au moins deux fêtes existantes pour leur substituer une fête Juive et une fête Musulmane."

Bertrand Delanoë - maire socialiste de Paris

"Plus nous sommes nègres, et plus nous sommes universels"
[...]
"Lorsque je suis arrivé à la mairie de Paris, j'ai donné un permis de construire pour une Mosquée rue de Tanger, permis de construire qui était bloqué, je regrette que les fonds privés n'aient pas permis encore que cette Mosquée existe.
Mais j'ai pris l'initiative avec mon ami Daniel Vaillant dès 2001, de créer l'Institut des Cultures de l'Islam, j'assume totalement, j'assume les trois-quarts de ces mètres carrés consacrés aux Cultures Islamiques qui enrichissent la culture parisienne." Comme j'assume les 1000 m², le quart de la superficie qui, sur fonds privés, sera dédié au Culte."

Bertrand Delanoë - maire socialiste de Paris